Implantée à Montreuil (93) depuis 1996, "Adèle et le squonk" se définit comme un petit laboratoire de recherche, avec des propositions artistiques originales, à la croisée des genres artistiques (théâtre, musique, clown, installation sonore).


Fétida ou la théorie du compost

Peut-parler de "musique" pour cette partition sonore de bruits et de borborygmes ?

Dans le ventre d'une poubelle vit Fétida, un être mystérieux qu'on ne verra jamais, et qui parle le bjleurtch... Une création sonore irrévérencieuse et drôle, comme un pet...

Création 2022



Dans ma tête, pour écouter le monde

A la fois spectacle et installation sonore, j'ai composé la musique, réalisé l'enregistrement des voix-off, et conçu le système de diffusion sonore (multiphonie 6.1) Création 2018



Sicave, clown capitaliste

Une musique de spectacle entièrement jouée en live par le personnage avec une pédale de boucle, permettant l'empilement des voix en direct, comme dans l'extrait ci-dessous (chant qui devient polyphonique, puis discours du personnage). Création 2003



Umbra Umbrae (l'ombre de l'ombre)

Ma première création musicale pour le spectacle (1994, puis nouvelle version pour la rue en 1997). De ce spectacle ancien, je n'ai que très peu de traces (à propos de cette époque reculée, internet est silencieux...).

La musique était jouée par le personnage qui s'accompagnait par un accordéon dissimulé sous son costume. Un spectacle émouvant dans lequel la musique jouait un rôle... "viscéral".

QUAND UNE SORCIERE PASSE A L'AVEU
( Umbra Umbrae - Off - Adèle er le Squonk - Ed. 4 du 22/08/98 - Auteur : C. Bogdanik)

DANS UN PETIT RECOIN de la ville, une sorcière se confie. L'un de ces personnages mystérieux et mauvais qui ont peuplé notre jeunesse dévoile aujourd'hui ses sentiments, son amour et ses larmes. Mais ses confessions ne se font pas par la parole (le javanais), souvent incompréhensible pour le spectateur, mais  par le langage universel, à savoir la musique, indissociable ici du jeu d'acteur et de l'acteur lui-même, puisque cette sorcière est "enceinte de musique". Si cette création de Pascale Heinisch déroute et décourage quelques spectateurs dès le début du spectacle par son incongruité, ceux qui la suivent en ressortent charmés et, je pense, ne l'oublieront pas de si tôt.